L’École des dirigeants des Premières Nations (EDPN) est heureuse d’annoncer la nomination de Manon Jeannotte au poste de directrice.
Diplômée de l’EMBA McGill – HEC Montréal et co-initiatrice du projet EDPN, Manon Jeannotte cumule plus de 20 ans d’expérience auprès des Premières Nations, tant en politique et en gouvernance que pour la défense des droits de ses pairs. Élue pendant 12 ans au Conseil de sa communauté (la Nation Micmac de Gespeg), elle se consacre depuis déjà quelques années à accompagner les Premières Nations dans la mise en place de leur développement des affaires et de leur gouvernance.
« Co-initiatrice de l’EDPN depuis octobre 2020, Manon Jeannotte s’est démarquée par son sens politique, sa connaissance du terrain, et son leadership. En ce sens, elle est la candidate toute désignée pour assumer ces importantes fonctions » a déclaré Serge Lafrance, directeur de l’École des dirigeants HEC Montréal.
« C’est avec fierté et humilité que j’ai accepté le poste de directrice de l’EDPN. Cette école est la concrétisation d’un rêve que plusieurs d’entre nous portons depuis longtemps, et en assumer la direction aujourd’hui est un privilège pour moi. L’EDPN est la jonction entre les apprentissages de niveau universitaire et les pratiques issues des réalités des Premières Nations. C’est une école qui regarde vers l’avenir avec confiance », confie Mme Jeannotte.
Pour Me Ken Rock, également co-initiateur du projet EDPN, « le choix de Manon Jeannotte pour assumer le rôle de directrice de l’EDPN allait de soi. Ayant le privilège de la côtoyer depuis des années, je sais qu’elle porte en elle les valeurs et les connaissances qui sont propres aux Premières Nations et qui distingueront l’EDPN des autres institutions d’enseignement. Je tiens à la féliciter pour sa nomination, et je lui offre toute ma collaboration et mon support ».
« L’EDPN souhaite devenir un catalyseur d’initiatives pour stimuler, encadrer, et enrichir l’autodétermination des Nations, afin d’ultimement améliorer les conditions socioéconomiques des communautés. Il ne fait aucun doute que la nomination de Manon est une excellente nouvelle, puisqu’elle représente elle-même, du fait de son parcours professionnel, le renouveau et la vivacité du leadership autochtone », conclut Serge Lafrance.